All on Bossa Nova and the music of Rio de Janeiro -Production of Shows with Brazilian and French artists around the repertoire of French Crooner Henri Salvador and other great jazz composers and musicians
Descubra tudo sobre o projeto de gravar um álbum em tributo a HENRI SALVADOR no Rio de Janeiro em 2024. Nosso objetivo com esse disco é celebrar a vida, a obra e a contribuição para a música brasileira de um dos maiores cantores franceses de todos os tempos. Esse projeto já está sendo um grande sucesso entre os apaixonados da música do mundo inteiro! https://www/henrisalvador.com.br
En 2019, Joyce Moreno m’accorda une interview afin de me parler de sa passion pour Henri Salvador #henrisalvador #jazz #bresil #bossanova #bossanovajazz
Com base no repertório de Didier Sustrac, suas palavras, seus vocais e seu violão, Odile Barlier cria um mundo sonoro muito especial, composto de percussão, sopros de madeira, vozes, flautas e água. Nossos ouvidos acompanham suas músicas, que se estende por muitas paisagens, começando pelas da Amazônia. Ouvimos os acordes de João Gilberto, as ressonâncias de Iva Bittova, a respiração de Hermeto Pascoal, os ritmos de Nana Vasconcellos…
DIDIER SUSTRAC
Sem dúvida, o francês mais brasileiro da França hoje, se parafrasearmos seu amigo Pierre Barouh, com quem canta o samba SARAVAH, de Baden Powell e Vinicius de Moraes. Cantor e compositor, sua música sempre foi “branca na forma e na rima, mas negra e muito negra no coração”. Ele deve essa mistura de culturas, que o torna um filho da Provença com coração brasileiro, à sua carreira de poeta boêmio que nunca parou de viajar pelo Mediterrâneo, pelo Atlântico e pelos trópicos.
Desde a adolescência, ele buscou um caminho entre o jazz descolado de Chet Baker e o jazz californiano de Michael Franks, sem esquecer Pierre Barouh, que, com Francis Lai, escreveu o tema do filme “Un homme et une femme” (Um homem e uma mulher), que teve um papel importante em seu desejo de viajar.
Aos 20 anos de idade, Didier Sustrac partiu para o Brasil, inspirado por um álbum de João Gilberto e Stan Getz. Quando chegou ao Rio, percebeu imediatamente que finalmente havia encontrado o que estava procurando: as harmonias suaves, os ritmos africanos dos afro-sambas e a bossa jazz de João. Ficou lá por três anos, tempo necessário para trocar seu violão popular por um violão e ter suas primeiras aulas de violão clássico, além de aprender português, o que lhe permitiu sentir a pulsação da alma brasileira tão cara a Henri Salvador.
Autor e compositor de suas próprias músicas, o francês sempre será a língua em que ele escreve, seguindo os passos de sua avó poeta, que lhe ensinou as belas palavras, mas também demonstrando, como Claude Nougaro lhe disse uma vez, que “sua terra natal é sua língua”. Seu primeiro álbum, “Zanzibar”, foi lançado em 1993 e o levou ao topo com “Tout seul”, que foi um sucesso naquele verão. Em 1995, lançou “Blues indigo”, que incluía outro sucesso, “Comme des animaux”, e, acima de tudo, “Ça sert à quoi”, um dueto com Chico Buarque. Em 2000, ele lançou o álbum “Chanteur d’ascenseur”, cuja alma foi vendida para uma grande gravadora. A essência de Didier Sustrac retornou em 2003 com o álbum “Matière première” e em 2006 com “Je chante un air”, que incluía uma de suas composições, “Cogne”, cantada em dueto com Claude Nougaro.
Em 2009, foi lançado o CD “Au pays des papas”, totalmente dedicado à Bossa, fruto de um hiato de alguns anos dedicado à sua paternidade. Em 2019, o CD “Ostende Bossa” e, em 2022, o CD “BossaSaravah” com o violonista italiano Roberto Di Fernandino.
Em 2023, ele apresenta seu novo projeto “Amazon” com a percussionista Odile Barlier, com suas “chansons sur l’eau et autres éclaboussures”.(“ músicas sobre a água e outros respingos”)
NO RIO , PARTICIPAÇÃO ESPECIAL PAULA & JAQUES MORELENBAUM (dependendo da agenda e da disponibilidade dos artistas)
J’aurais du mal à faire le guide et à vous recommander quelques endroits à visiter, quelques activités à réaliser si vous vouliez seulement découvrir Rio en quelques jours…car mon Rio de Janeiro ce n’est pas la ville des clichés, du Futebol, du samba, des jolies filles en “fil dentaire”, de la violence ou de la pauvreté.
Mon Rio, c’est celui du hasard et de la chance qui a guidé mes pas alors que par hasard je partis à la découverte de sa musique.
C’est cela qui me fait découvrir un poète, Vinicius de Moraes, qui sublima l’art des rencontres et dont je m’inspirai pour découvrir l’âme indéfinissable de cette ville.
Je mis en pratique cette philosophie de vie jusqu’à plus soif, personnellement, professionnellement, ce qui me permis de vivre des expériences les plus folles.
Rien pourtant ne me prédestinait atterrir à cet endroit. Du fait de ma naissance, ma passion me guida plutôt vers l’Afrique, plus particulièrement l’Afrique du Sud donc j’adorais la musique et où je fis tout pour aller travailler.
Je n’y arrivai jamais, mais cette soif d’évasion, me conduisit au Brésil.
Dès que j’effectuai mes premiers pas à Rio, je su que cette ville était la mienne; son climat, son ciel bleu, ses plages ses montagnes, ce peuple métissé et chaleureux, cette douce et élégante manière qu’on les filles ont à se balancer en marchant le long de Copacabana ou Ipanema , alors que la misère, les lorgne d’un peu plus haut.
LA MUSIQUE
En arrivant à Rio, je ne connaissais rien de sa musique, sinon un disque de Sinatra et Jobim, celle d’un certain Pierre Barouh sur des images d’un film, et puis une musique seulement, d’une chanteuse, Leny Andrade, qui devient des années plus tard l’une de mes amis les plus chère.
Passionné depuis tout petit par la musique, les émotions qu’elle produit, les passerelles qu’elle permet d’établir entre les cultures, je me mis à occuper mes loisirs, au cours d’une première mission professionnelle, à écumer toutes les boutiques de disques encore nombreuses à l’époque dans la ville. J’y découvris Jobim Caymmi, Buarque Veloso, GIL, Bethania, et bien d’autres, et puis j’approfondissais ma connaissance des ponts que des Français, Moustaki, Barouh, Salvador Nougaro, Sustrac, avaient bâtis entre la France et le Brésil .
Ma curiosité me conduit à voir ces artistes de plus près, à vivre de nouvelles expériences dans la ville.
Ma passion grandissante me conduisit à apprendre presque par moi-même, leur langue.
De missions professionnelles en visites plus personnelles j’effectuai en 25 ans plus 100 séjours, dont trois de longue durée dans cette ville.
HENRI SALVADOR
En 2000, le souvenir de Henri Salvador l’idole de mon enfance avec ses “Zorro est arrivé”, “Le travail c’est la santé”, “Minnie petite souris” …. m’explosa soudain aux oreilles quand je découvris son « jardin d’hiver » aux airs de Bossa Nova.
Henri Salvador et le Brésil! Je tenais là un nouveau fil conducteur pour mes explorations musicales á Rio de Janeiro,
Je commençai alors à découvrir petit à petit son histoire brésilienne et sa vie passée de carioca.
En 2005, j’ai eu la chance de le rencontrer une première fois et d’échanger avec lui sur sa « Brasileiridade” .
Il ne venait pas de découvrir la Bossa Nova, Il en avait rêvé toute une vie, un reve que la sortie de “Chambre avec vue” à 80 ans lui permettait enfin de révéler pleinement au grand public.
En 2006, je découvris en lisant comme chaque matin le journal O Globo de Rio, que Henri irait à Pâques enregistrer son prochain disque à Rio.
L’idée me pris le lendemain, de l’appeler à Paris et de lui proposer un projet un peu fou, celui de profiter de son séjour pour revenir à l’endroit mythique, Le casino de Urca, où il se produisit pendant la guerre avec l’orchestre de Ray Ventura », et puis de passer par IPANEMA, berceau de la Bossa Nova”, pour y graver ses mains dans le ciment, pour le futur projet de “trottoir des célébrités”, devant le public carioca.
Par l’entremise de son épouse Catherine et de son attachée de presse Bruno Philippart, je mis tout en musique pour un reportage, qui fut diffusé à une heure de grande écoute sur TF1.
La veille de la Saint-Valentin, 2008. Henri Salvador nous quitta ; “Ainsi passe la gloire dans ce monde“ !
COMMENT JE SUIS ARRIVÉ JUSQU À GILBERTO GIL ?
Henri disparu, j’orientai désormais mes recherches musicales sur le vrai rôle qu’il aurait joué dans la musique brésilienne en général, et la Bossa Nova en particulier.
Je n’ignorais pas qu’en 2005, il avait été décoré par Gilberto Gil, alors ministre de la culture du premier gouvernement Lula, de l’ordre du mérite culturel, en même temps que les deux icônes brésiliennes Maria Bethânia et João Gilberto,.
J’épluchai minutieusement le livre de mémoire de son vieil ami Brésilien, Georges Henry , “ Un Musicien 7 vies”.
Je me mis à reparler d’Henri à tous les musiciens qui m’étaient à présent devenu familiers.
Je vis à chaque fois une petite lumière dans leurs yeux, à la simple évocation de son nom, et de deux chansons “Rose” et “ Dans mon ile “.
Ayant tissé quelques liens avec Catherine Salvador, son épouse, je finis modestement par devenir son point de contact quand il s’agissait d’évoquer Henri et le Brésil.
Un jour de 2019, je fus contacté par une cinéaste parisienne occupé à préparer le documentaire “Henri Salvador Face B Com Bossa” à fin de faciliter le tournage Rio.
La rencontre à Paris fut magique; je m’offris de l’aider gracieusement à tourner quelques images sur place, mais surtout a interviewer pour elle des artistes brésilien de renom afin qu’ils nous parlent d’Henri.
C’est ainsi que pour la première fois je me glissai dans des habits de journaliste, et réalisai là mes premières interviews de Roberto Menescal, Gilberto Gil, Joyce Moreno Marcos Valle…
Celle de Gilberto Gil fut mémorable par la lumière qui se dégageait de cet homme-là; par moment j’eu l’impression, par la beauté de son âge et son charisme, d’être face à Nelson Mandela.
Toutes les autres rencontres me confirmèrent une certitude, Henri avait bel et bien été l’une des sources d’inspiration, de plusieurs générations de Musiciens brésiliens.
LE BAIXU
Pour terminer juste quelques mots sur le Baixu, cette nouvelle salle de spectacle que nous avons conçue à Bruxelles avec une associée, Martine Renwart, et qui a pour vocation, outre d’accueillir des projets sociaux, d’être une fenêtre ouverte pour les jeunes talents de tous les styles musicaux, mais surtout d’être à mes yeux, le lieu de référence à Bruxelles de la musique brésilienne de qualité et de renom.
For Belgian double bassist Jose Bedeur, it’s almost 70 years of looking at the world from a variety of angles, travelling the world through music and jazz. To mark the publication of the book “José Bedeur: “Memories of you” by Michel Mainil, published by Bossaflor, the Baixu wanted to pay special tribute to this great figure of Belgian jazz with a very special evening concert.
The evening will begin with a conversation with Jose Bedeur and Michel Mainil, during which you will be able to discover some of the many anecdotes that have marked José Bedeur’s career and that Michel Mainil has recounted so well in his book “Memories of You” (available during the evening). The moving musical moment that will follow this introduction will feature José Bedeur (double bass) in a band that will also include Michel Mainil (Sax) Jean- Denis Tourneur (Guitar) Patrick Wante (Drums) and special guest Philippe Quevauviller (vocals), who is also the editor of Michel Mainil’s book “Memories of You”. Denis Tourneur (Guitar) Patrick Wante (Drums) and, at the end of the evening, special guest Philippe Quevauviller (vocals) who is also the editor of Michel Mainil’s book “Memories of you”.
Join us to welcome and celebrate summer in an evening full of the best live music and wines in our new event on the 24th of June in partnership with @from de Roots!!
For each participant, a free glass of Portuguese wine to start the night with Jazz Singer Paula Morelenbaum & Bossarenova trio followed by Dj Black Mamba from (SP) and RDXM (FR)
Start this summertime in music and take away your wines for this new season.
A grande dama da Bossanova PAULA MORELENBAUM famosa por sua participação em muitos PROJETOS BOSSA NOVA e JAZZ com Tom Jobim, João Donato, Ryuchi Sakamoto, Jaques Morelenbaum… estará de volta à Bélgica @ LE BAIXU para um show único no dia 24 de junho.
Ela tocará com os dois músicos alemães, Joo Kraus (trompete, beatbox) e Ralf Schmid (piano, eletrônica) com os quais está formando o Trio BOSSARENOVA.
O que este trio apresentará é nada menos que uma ponte sobre duas épocas, a que viu nascer a bossa nova no Rio, e a que vê hoje na Europa uma nova geração de músicos ansiosos para experimentar novos sons.
Embora respeitando as harmonias e tonalidades originais, Paula, Joo e Ralf trazem às melodias que todos se lembram, um toque de modernidade que agrada a todos os públicos.
Em seu repertório deste 24 de junho, trechos de seus dois primeiros álbuns “Samba Prelúdio” e “Atlantico”, bem como músicas novas em que o trio está trabalhando atualmente e que em breve poderão ser objeto de um novo álbum.
Join us to welcome and celebrate summer in an evening full of the best live music and wines in our new event in partnership with @lebaixu on the 24th of June!!
Junte-se a nós para dar as boas-vindas e celebrar o verão em uma noite repleta da melhor música ao vivo e vinhos em nosso novo evento em parceria com a @lebaixu no dia 24 de junho!!!